Tradução: Emmanuel Tugny
“C'est dimanche au miroir,
Dans le rêve, on dort,
La bouche dit la vérité” Paul Celan
La création entière, tout l'élan de la vie verse en toi ,
Toute marche, chaque oeil,
chaque crachat te vise.
Tu es la source du bon et du triste,
Des barques cinglent en toi,
Mégots, tronçons des douleurs, morts invisíbles,
Et un bruit dans l'air qui inspire.
Tu es la couche unique des rêves,
De ceux qui aiment, de ceux qui, un jour,
Furent lynchés par la ville.
Tu es l'égide des deux plans de la vie,
En toi sont le bien et le mal.
Des rues qui passent en toi,
Flanent au-dessus ta couche
Des gosses, le passé nazi, le pas du philosophe, la chute, le mur,
L' Absurde, l'arôme sorcier de tes hanches, de tes recettes.
Passent en toi les soleils et les lunes des siècles,
Les couleurs, la main du dandy, celle qui passe, longeant ton immensité.
Dans le rêve, on dort,
La bouche dit la vérité” Paul Celan
La création entière, tout l'élan de la vie verse en toi ,
Toute marche, chaque oeil,
chaque crachat te vise.
Tu es la source du bon et du triste,
Des barques cinglent en toi,
Mégots, tronçons des douleurs, morts invisíbles,
Et un bruit dans l'air qui inspire.
Tu es la couche unique des rêves,
De ceux qui aiment, de ceux qui, un jour,
Furent lynchés par la ville.
Tu es l'égide des deux plans de la vie,
En toi sont le bien et le mal.
Des rues qui passent en toi,
Flanent au-dessus ta couche
Des gosses, le passé nazi, le pas du philosophe, la chute, le mur,
L' Absurde, l'arôme sorcier de tes hanches, de tes recettes.
Passent en toi les soleils et les lunes des siècles,
Les couleurs, la main du dandy, celle qui passe, longeant ton immensité.
Toute marche, chaque oeil,
chaque crachat te vise.
Tu es la source du bon et du triste,
Des barques cinglent en toi,
Mégots, tronçons des douleurs, morts invisíbles,
Et un bruit dans l'air qui inspire.
Tu es la couche unique des rêves,
De ceux qui aiment, de ceux qui, un jour,
Furent lynchés par la ville.
Tu es l'égide des deux plans de la vie,
En toi sont le bien et le mal.
Des rues qui passent en toi,
Flanent au-dessus ta couche
Des gosses, le passé nazi, le pas du philosophe, la chute, le mur,
L' Absurde, l'arôme sorcier de tes hanches, de tes recettes.
Passent en toi les soleils et les lunes des siècles,
Les couleurs, la main du dandy, celle qui passe, longeant ton immensité.
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